Elle comprend pourquoi certains peuvent trouver étrange qu'un pays tel que le sien n'ait pas de données adéquates sur la violence à l'égard des femmes.
La pratique la plus répandue consiste encore à faire des femmes un groupe vulnérable au lieu de s'attaquer à ce qui les rend vulnérables, en particulier le fait qu'elles sont privées de droits, et donc de biens.