Maurice a indiqué que les filles abandonnaient l'école pour les raisons suivantes : harcèlement sexuel, grossesse et mauvais état des établissements scolaires.
Le Secrétaire général demeure résolu à prévenir l'exploitation et la violence sexuelles et à changer la culture organisationnelle qui permet de tels actes.
Ces violences s'accompagnent souvent de trafics de femmes et d'une exacerbation de la violence au sein de la famille, ainsi que d'autres formes de violence.
Les avancées réalisées dans la protection juridique des petites filles sont contrebalancées par l'augmentation des sévices et de l'exploitation sexuels dont elles sont victimes.
Les problèmes de protection de l'enfance - contre les sévices et l'exploitation sexuels en particulier - étaient les principaux obstacles à l'éducation des filles.