Ils vendent alors l’appartement et la voiture qu’ils avaient achetés à leur mariage et s’installe en attendant chez ses beaux-parents qui habitent en banlieue.
Douze années auparavant, M. l’abbé de Frilair était arrivé à Besançon avec un porte-manteau des plus exigus, lequel, suivant la chronique, contenait toute sa fortune.
Il n’y avait pas dans les environs de Combray de ferme si conséquente que Françoise ne supposât qu’Eulalie eût pu facilement l’acheter, avec tout ce que lui rapporteraient ses visites.
Elle n’était avare que pour ma tante ; si elle avait géré sa fortune, ce qui eût été son rêve, elle l’aurait préservée des entreprises d’autrui avec une férocité maternelle.
Bergotte n’a pas à son actif, dans son bagage si je puis dire, un roman d’une envolée un peu haute, un de ces livres qu’on place dans le bon coin de sa bibliothèque.
Pourquoi pas, dit le marquis ; mais serait-ce un homme à se laisser graisser la patte par le préfet de police ou par tout autre pour faire l’espion chez moi ? Voilà toute mon objection.
J’ai fini par être servante chez le Juif don Issachar ; il me mit auprès de vous, ma belle demoiselle ; je me suis attachée à votre destinée, et j’ai été plus occupée de vos aventures que des miennes.