Les pays et les collectivités dont l'économie repose principalement sur les petites exploitations sont aujourd'hui les plus pauvres du monde et les plus menacés par la dégradation des écosystèmes.
Par exemple, le fait que les États ne protègent pas l'économie rurale de petits agriculteurs contraint ceux-ci à émigrer vers les villes, aggravant une situation déjà catastrophique en matière de logement.
Enfin, les petits agriculteurs, susceptibles d'employer plus de femmes, risquaient de voir les effets positifs de la hausse des prix due à la libéralisation du commerce être accaparés par les intermédiaires.