Elles procèdent d'un monde dans lequel il y a les riches et les pauvres, d'un monde dans lequel certains se couchent le ventre vide, d'un monde dans lequel de jeunes filles sont contraintes de vendre leur corps pour manger.
Puis, avant de se coucher chacun chez soi, ils passèrent une heure ensemble, dans la chambre de la jeune femme, bien contents d’être au bout de cet embarras.
Au moment où ils traversaient cette chambre, madame Magloire serrait l’argenterie dans le placard qui était au chevet du lit. C’était le dernier soin qu’elle prenait chaque soir avant de s’aller coucher.
Cependant elle n’était pas complète si le temps froid ou pluvieux l’empêchait d’aller passer, le soir, quand les deux femmes s’étaient retirées, une heure ou deux dans son jardin avant de s’endormir.