Chaque matin, il aimait à donner un coup d’œil à la Piolaine, qui n’était pas assez grande pour lui causer des soucis, et dont il tirait tous les bonheurs du propriétaire.
Gervaise se tournait les sangs ; ce n’était pas l’occupation d’un homme, de faire du café ; et elle lui criait comment il devait s’y prendre, sans écouter les chut ! énergiques de la sage-femme.
Dès midi, l’empereur, le premier, avec sa longue-vue, avait aperçu à l’extrême horizon quelque chose qui avait fixé son attention. Il avait dit : — Je vois là-bas un nuage qui me paraît être des troupes.