Là-bas, il me faudrait ignorer les regards moqueurs de mes collègues londoniens. On ne se débarrasse jamais tout à fait de ses souvenirs d'enfance. Ils vous poursuivent comme des fantômes, hantent votre vie d'adulte.
Encore une douce référence à l’enfance des plus âgés d’entre nous, la douce époque où tu échangeais une converse avec ta sista bestah, peu importe si vous n’aviez pas la même pointure.