2.Le Groupe de travail a déclaré qu'il était partisan de trouver une solution à la question très limitée d'un éventuel conflit de lois évoquée dans les propositions présentées.
3.M. Roed-Larsen (parle en anglais) : Dans mon dernier exposé au Conseil en décembre 2003, je m'étais montré relativement optimiste, indiquant qu'il existait une chance que le processus de paix reprenne.
4.Un compromis entre une définition trop large et une définition trop étroite pourrait consister à définir une objection comme une réaction visant à rendre les effets de la réserve inopposables dans les relations entre l'État qui formule l'objection et l'État réservataire.
5.Le conseil affirme que l'État partie connaissait l'état de santé du requérant mais avait négligé de s'en occuper pendant deux ans et demi, l'exposant pendant tout ce temps à des traitements tels que l'enfermement dans des cellules «très petites», les bras liés derrière le dos.
6.M. Anaedu (Nigéria), exprimant le ferme soutien de sa délégation à l'UNITAR, dit que l'Institut ne peut pas fournir les services que les États Membres exigent et attendent souvent si ses ressources proviennent essentiellement de fonds réservés, généralement assortis de conditions rigoureuses et émanant d'un très petit nombre de donateurs.
7.On s'est par ailleurs inquiété de ce que le libellé actuel du projet d'article 4 ne mentionnait que les “exonérations” et les “limites de responsabilité”, ce qui risquait d'être trop restrictif et de ne pas protéger le droit du transporteur à un for approprié en vertu du projet de convention.