Le fait que les institutions financières internationales avaient revu leur façon d'aborder la stabilisation et l'ajustement structurel prêtait à l'optimisme.
Le fisc de Hambourg avait dans un premier renoncé à un redressement fiscal de l'établissement bancaire avant que le ministère des Finances à Berlin n'exige finalement le remboursement de 47 millions d'euros.