Outre leur qualité de citoyens français, ils expliquent être titulaires d'une carte d'électeur et être inscrits sur la liste électorale de Nouvelle-Calédonie.
L'Administration transitoire des Nations Unies au Timor oriental (ATNUTO) de son côté prévoit l'achèvement de la constitution des listes électorales pour le 20 juin.
Le secrétaire de l'île établit les listes électorales chaque année, en octobre, les élections étant organisées au cours de la première quinzaine de décembre.
Au titre de cette coopération avec la Direction des affaires administratives de la MINUK, les listes électorales définitives sont dressées pour les élections centrales et municipales.
Un changement radical est intervenu dans l'établissement de ces listes lorsque les bases de données de l'état civil ont commencé à être utilisées comme sources d'information.
Cet Accord traduit la volonté des parties de procéder à l'identification des populations, au recensement électoral et à l'organisation d'une élection présidentielle libre, ouverte et transparente.
Le secrétaire de l'île établit les listes électorales chaque année, en octobre, les élections étant organisées sur une journée au cours de la première quinzaine de décembre.
Le 31 mai 1850, une loi limite l'accès aux listes électorales : ne pourront s'inscrire que ceux qui vivent depuis trois ans dans la commune ou le canton, et qui paient leur propre loyer.