2.Les suspects sont souvent arrêtés par des agents de la DST, alors que ces derniers n'ont pas la qualité d'officiers de police judiciaire et ne sont pas habilités légalement à procéder à ces arrestations.
3.Les suspects sont conduits dans les locaux de la police ou de la DST et maintenus en détention durant des périodes de garde à vue qui dépassent généralement les limites fixées par la loi.
4.La DST a mis en place un Programme de développement de l'instrumentation (IDP), qui contribue largement à l'essor de secteurs d'importance nationale tels que l'éducation, la recherche scientifique, l'industrie, l'agriculture, la médecine, la santé, etc.
5.La DST a pris l'initiative d'appliquer des programmes multi-institutionnels dans les secteurs technologiques émergeants, tels que la conception d'instruments, les matériaux de pointe, les technologies d'importance vitale, la technologie sucrière, le recyclage des cendres volantes et les matériaux composites de pointe.
6.Parmi les autres règlements intéressant la sécurité de la navigation, on peut citer les articles 1 d) et 10 des Règles internationales pour prévenir les abordages en mer (COLREG) qui définissent, respectivement, la compétence qu'a l'OMI d'adopter des dispositifs de séparation du trafic (DST) et les principales réglementations techniques à suivre à cet égard.
7.La torture ou les mauvais traitements auraient en général été pratiqués dans les locaux de détention des forces de sécurité, en particulier de la Direction de la surveillance du territoire (DST) et de la police, pour obtenir des aveux ou des renseignements, ou pour contraindre le détenu à signer de son nom ou du pouce des déclarations dont il rejetait, réfutait ou ignorait la teneur.