2.En 1478, les souverains espagnols importeront le tribunal de l’ Inquisition pour s’assurer de la sincérité des juifs, ceux qui refuseront d’abjurer seront brûlés.
3.En fait, il m'a rappelé quelque peu le Colonel Pickering dans la comédie musicale de Broadway, My Fair Lady, affirmant qu'il préférerait encore le retour de l'Inquisition.
4.Il serait donc incorrect de penser que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, et un tel état d'esprit ne serait pas vraiment propice à un avenir raisonnable, car dire que les méthodes de travail du Conseil de sécurité sont adéquates reviendrait à dire que l'Inquisition espagnole était une époque de jugement objectif et de transparence.
2.Il ne lui marchandait jamais un sou, ne lui demandait jamais de comptes, mais elle se conduisait comme si elle devait en rendre devant le tribunal de l'Inquisition.
7.Le roi d'Angleterre rachète donc la Pucelle aux Bourguignons, puis la livre à des religieux : ce sera à eux d'instruire un procès, en suivant les règles classiques de l'Inquisition.
8.Car le but d'un procès d'Inquisition n'est pas d'exécuter le prévenu : au contraire, le plus souvent on veut qu'il reconnaisse ses fautes, et se soumettre à nouveau à l'autorité de l'Église.
9.L'abbé était un petit vieux sec et fripé qui passait pour janséniste, et de fait il s'était enfui du Dauphiné, sa terre natale, pour échapper à un procès de l'Inquisition.
10.On en trouve trace dans des sermons, mais aussi dans des procès d'Inquisition, pour déterminer si oui ou non une personne est respectable, ou complètement corrompue par les attraits du monde et de la mode.
11.L'Inquisition, qui était ce bureau meurtrier qui régnait au beau milieu de l'église il y a quelques siècles déjà, n'hésitait pas à brûler ceux qu'on soupçonnait d'hérésie, c'est-à-dire d'avoir des opinions contraires aux dogmes catholiques, ou même ceux qu'on accusait de sorcellerie.