2.Les administrations de province et de district, faibles et corrompues, le maintien de la férule des chefs locaux et l'absence d'ordre public véritable à l'échelon national sont de plus grandes causes d'insécurité que la violence terroriste.
3.Le caractère interactif et complexe des causes du chômage et de la précarité a conduit à la mobilisation d'un grand nombre d'administrations, qui se traduit par une étroite coopération entre ministères, sous la férule de comités interministériels régulièrement réunis.