Troisièmement, les références faites aux restrictions injustes imposées aux Chypriotes turcs, comme la Turquie a décidé de les appeler, sont profondément malavisées.
Le Maroc affirme que les 160 000 résidents vivant dans les camps en Algérie ne sont pas des réfugiés et qu'ils seraient par conséquent détenus contre leur volonté.
Cela est totalement faux étant donné que la Cour a déterminé clairement qu'en aucun cas les contacts et la coopération d'un citoyen avec l'OIT ou d'autres organismes des Nations Unies ne constituent une infraction pénale.