6.Certains orateurs ont soulevé les questions de la prescription et de la non-rétroactivité qui, selon les systèmes juridiques, pourraient ne pas s'appliquer à la confiscation sans condamnation.
7.Notant que l'augmentation du nombre des États parties au Statut de Rome témoigne de la confiance accrue de la communauté internationale dans la capacité de la Cour à mettre fin à l'impunité pour les crimes contre l'humanité, le Nigéria reconnaît le caractère non-rétroactif de la compétence de la Cour qui n'est habilitée à juger que les crimes commis après l'entrée en vigueur du Statut de Rome.