Il est scandaleux d'entendre le ministre des relations extérieures d'un certain État qualifier le chef d'un groupe terroriste de « raffiné, dynamique, dévoué et résolu ».
Il est certes révoltant de constater que l'actuelle Secrétaire d'État, Hillary Clinton, a réitéré le même argument qu'avait avancé celle qui l'a précédée à son poste, Condoleezza Rice, pour refuser le visa à Adriana Pérez.