Surtout, on arrive à capitaliser, à canaliser un gaz à fort effet polluant, en évitant qu'il ne parte dans l'atmosphère et en le valorisant de manière locale.
Résultat : des points de vente de plus en plus nombreux, un chiffre d’affaires qui double chaque année, une entreprise valorisée à dix fois sa mise de départ.
En tout cas, la marque, entrée en bourse fin janvier, a démarré du bon pied sur le marché londonien avec une valorisation à plus de quatre milliards de francs.
Ah oui, je vous donne une estimation du nombre d'heures, mais ne prenez pas ça au pied de la lettre, (autrement dit, ne prenez pas ça au 1er degré, sans chercher à comprendre).
Le projet, qui est développé depuis quelques années, consiste à valoriser la biomasse, que l'on développe sur des sites miniers à des fins de restauration, à travers un nouveau domaine de la chimie qu'on a baptisé l'écocatalyse.