Faisant l'objet d'une surveillance constante par des policiers en civil, certaines personnes seraient empêchées d'organiser des réunions ou d'y participer.
Ils étaient particulièrement nombreux à la manifestation organisée pour la Journée internationale de la femme parce que l'assistance comptait plusieurs personnalités.
Au cours de l'expulsion, ces policiers en civil ont frappé plusieurs Roms, tandis que leurs collègues en uniforme proféraient des insultes à caractère raciste.
Souriante, escortée par une dizaine de policiers en civil, Gisèle Pellicot vient d'apprendre que les 51 accusés ont tous été reconnus coupables, sans exception.