L'UNICEF devait donc veiller à ce que ses propres orientations n'anticipent pas sur les décisions à prendre par les organismes du Comité exécutif du Groupe des Nations Unies pour le développement.
Ce n'est qu'en cas de conflit direct avec le droit fédéral ou avec la Constitution fédérale, ou si le gouvernement fédéral a «préempté» le domaine, que la loi de l'État ne prime plus ou est déclarée nulle.