Nos vrais héros sont les conducteurs d'autobus, les étudiants, les consommateurs et les voyageurs qui, prenant toutes les précautions nécessaires, continuent de mener une existence pleine et intense.
Un Afghan de 28 ans, chauffeur de taxi, a été agressé par trois hommes qui, d'après la police, ont fait allusion aux attentats de New York; il est maintenant paralysé de la nuque jusqu'aux pieds.
La conductrice du car est de nouveau en garde à vue pour s'expliquer. Elle affirme que la barrière était ouverte. Six jeunes sont morts lors de ce drame.
Car on ne sait pas pour l'heure si la conductrice du car a potentiellement forcé le passage a niveau, ou si les barrières se sont refermées sur le bus par exemple.
Il faudrait que les agresseurs de chauffeurs de taxi puissent être condamnés plus lourdement, comme c'est le cas pour les chauffeurs de bus ou pour les acteurs qui exploitent les réseaux de transports publics.
Sur le plateau, une chef d'entreprise, la mère d'un jeune homme parti combattre dans les rangs de l'organisation Etat islamique en Syrie, un étudiant en école de commerce et un conducteur d'autocar, électeur du Front National.