Selon lui, les deux appareils se trouvaient encore à une soixantaine de kilomètres du porte-avions Charles de Gaulle, qu'il s'apprêtaient à regagner, lorsqu'ils se sont abîmés en mer à 18h09 précises.
A ce moment-là, il a encore envie de dormir, mais il dit tous les soirs à sa mère de le réveiller le lendemain, à six heures juste, parce qu'il doit travailler.