Elle a rédigé un droit pénal transitoire, qu'elle considérait comme une mesure palliative, qui serait rapidement remplacée par un dispositif législatif définitif.
Pour qualifier les crimes terroristes, il faut donc se reporter aux éléments constitutifs du crime figurant dans le Code pénal et les lois d'application.
En l'absence d'un tel accord entre l'État requérant et la République de Croatie, la loi croate sur l'entraide judiciaire internationale en matière pénale trouve application.