Les dirigeants des forces de sécurité du Zimbabwe ont à plusieurs reprises déclaré qu'ils ne « permettraient pas à des marionnettes de prendre les commandes » ni « n'acclameraient les traîtres et les agents de l'Ouest ».
Et la honteuse terreur règne, les plus braves deviennent lâches, personne n’ose plus dire ce qu’il pense, dans la peur d’être dénoncé comme vendu et traître.