En second lieu, la demande massive d'ovocytes humains se ferait sentir de manière disproportionnée chez les femmes pauvres et marginalisées du monde, entraînant l'apparition d'un type nouveau d'injustice et de discrimination.
En premier lieu, le procédé utiliserait le corps de la femme comme un réservoir d'ovocytes sans aucunement prendre en considération le nombre de ses dons ni son avenir en matière de procréation.