Ces derniers avaient tendance à contre-argumenter que plusieurs autres raisons non négligeables pouvaient expliquer la crise financière du programme « pétrole contre nourriture ».
L'État partie conclut donc que les griefs de mauvais traitements faits ce jour-là ont été effectivement démentis par les constatations de son ambassadeur.
Nous pouvons, par conséquent, dire sans craindre d'être contredits que le processus de paix au Burundi s'est engagé dans une phase décisive et irréversible.
Même si l'expulsion était envisagée, l'État partie rejette l'idée selon laquelle cela aurait pour conséquence nécessaire et prévisible la torture ou des traitements analogues en Iraq.
3 L'État partie rejette également comme non fondée l'affirmation de l'auteur selon laquelle son fils n'a pas été assisté d'un interprète durant l'interrogatoire et le procès.