À Saint-Vincent-et-les Grenadines, nous compatissons à leur malheur, bien conscients que sans la miséricorde divine et les caprices de la nature, Saint-Vincent-et-les-Grenadines aurait subi le même sort.
La forte dépendance à l'égard de l'agriculture non irriguée, en particulier dans les pays en développement de l'Afrique subsaharienne, a également mis ces pays à la merci des caprices de la nature.
Durant tout ce temps je n'eus pas une seule pensée sérieuse de religion, si ce n'est cette banale invocation : Seigneur ayez pitié de moi, qui cessa en même temps que le péril.