Les contributions des pays industrialisés sont désespérément inappropriées, et les ajustements nécessaires des stratégies des institutions financières internationales sont lents à venir.
Les incohérences des institutions internationales existantes face aux défis actuels témoignent hélas de leur conception fondamentale erronée dans des contextes en évolution.
Les pays des Caraïbes ne sont pas restés à l'abri de ces malheurs, tant comme zone de transbordement que plus récemment comme États consommateurs, malheureusement.
Les récents événements survenus au Royaume-Uni, en Turquie et au Moyen-Orient sont un rappel tragique des défis posés à la sécurité partout dans le monde.
Une étude récente sur l'exploitation des enfants au Libéria a tristement signalé des abus commis par des Casques bleus et des agents humanitaires de l'ONU.
Au demeurant, les récentes catastrophes naturelles nous rappellent tragiquement que notre monde est un dans sa vulnérabilité et que le temps d'agir collectivement et solidairement est venu.
La mort des soldats de la paix guatémaltèques a mis tragiquement en évidence l'influence catastrophique que l'Armée de résistance du Seigneur continue d'exercer dans la région des Grands Lacs.
Depuis qu'Israël a quitté Gaza, il y a plus d'un an, les Palestiniens ont cyniquement - tragiquement - transformé Gaza en plate-forme d'où ils mènent une guerre de terreur contre Israël.
La pertinence du débat d'aujourd'hui a été, une fois encore, tristement confirmée par le meurtre récent de sept Afghans participant à des programmes de lutte antidrogue dans la province d'Uruzgan.
Voilà donc les mots d'une presse nationale, qui reflète les élites dirigeantes, et qui est d'opinion, est-elle passionnante de stratégies réincarnées, ou tristement désincarnées?