Encore et toujours, ils communiquent qu'un nouvel appel a été lancé aux puissants comme aux faibles à répondre volontairement aux cris des déshérités de la planète.
Ces statistiques alarmantes, auxquelles s'ajoutent les appels au secours de Yaguine et de Fodé, m'obligent à attirer l'attention de l'Assemblée sur le problème du chômage des jeunes.
Ce sont ceux de Libanais : de courageux députés et ministres patriotes qui nous interpellent depuis deux jours alors que leur cher pays se trouve au bord du précipice.
Je pense qu'il importe que nos hommes soient véritablement impliqués dans cette campagne pour qu'elle ne soit pas considérée comme une autre situation où les femmes crient dans le désert.
N'entendrons-nous pas le pur désespoir du Premier Ministre libanais qui se lamentait parce que son pays a été dévasté et qu'aucun gouvernement ne peut survivre sur les ruines d'un pays?
Il y a un an seulement, les Libanais affluaient dans les rues, le coeur plein d'espoir, brandissant des drapeaux rouges, verts et blancs en criant : « Le Liban mérite de vivre! »