Des processus comme la privatisation et la dénationalisation ralentissent le développement de ces marchés soutenu par de bonnes politiques foncières et immobilières.
Certaines des grandes firmes nationalisées sont alors reprivatisées. Pendant son deuxième septennat, Mitterrand adapte sa politique aux réalités de l’économie de marché.
Pour continuer de développer les infrastructures, la nationalisation demeurait donc une option viable, mais pour ce faire il fallait indemniser les actionnaires privés.