L'auteur affirme que ce principe n'a pas été respecté dans le cas de son fils et de M. Karimov puisqu'ils ont été battus et forcés de passer aux aveux.
Elle explique que, devant le tribunal, son fils n'avait pas invoqué les actes de torture et les aveux forcés parce qu'il craignait que ses proches subissent des représailles de la part de Pokrepkin.
5 L'auteur a également affirmé que M. Siragev avait été frappé et torturé en détention par les enquêteurs qui voulaient lui arracher des aveux, au point qu'il avait eu des côtes cassées et avait dû être hospitalisé.