Les différentes études techniques proposent plusieurs options permettant d'internaliser les externalités environnementales, dont certaines sont présentées ci-après dans leurs grandes lignes.
Certaines des options possibles pour l'internalisation des externalités sont fondées sur des formules de conservation de la biodiversité axées sur le marché.
D'autres facteurs extérieurs tels que l'instabilité politique, les catastrophes naturelles et les conflits armés ont également entravé la mise en oeuvre des programmes.
Les “nouvelles” théories de la croissance posent donc que le changement technologique est endogène et que l'éducation et les connaissances engendrent des externalités positives.
En effet, les chocs énergétiques figurent parmi les facteurs externes les plus fréquents et les plus néfastes qu'aient subis les petits États insulaires en développement.
Comme ces coûts sont extérieurs aux coûts de fonctionnement supportés par les individus et les sociétés, ils constituent ce que l'on appelle en économie des « externalités ».