L'Observatoire astronomique national exploite des télescopes optiques et des radiotélescopes permettant d'observer le Soleil, en particulier les éruptions solaires.
Ces campagnes de recherches fonctionneront de manière analogue à celle des projets conjoints d'observation de l'Observatoire solaire et héliosphérique.
Le satellite Hinode était un observatoire solaire orbital équipé de trois télescopes exceptionnels dont les données d'observation étaient d'une extrême qualité.
Ces éruptions annoncent le début d’un « réveil » du Soleil. Selon les chercheurs du SDO, d’autres, beaucoup plus impressionnantes, pourront survenir prochainement.
Il s'agissait notamment des missions Cluster, Double Star, ePOP (sonde de mesure de l'écoulement du plasma dans le vent polaire), SOHO (Observatoire solaire et héliosphérique) et Yohkoh.
Dans le cadre des activités relatives à l'Année héliophysique internationale, l'Institut de géophysique a entrepris de créer un laboratoire virtuel sur les observations solaires et leurs relations avec la Terre.
L'Institut géophysique du Pérou a mis sur pied, en coordination avec l'Université d'État d'Ica et son Département des sciences, un petit télescope équipé d'une caméra CCD destiné à l'observation des taches solaires.
Il a signé des accords mutuels avec plusieurs institutions de pays en développement et a aidé à mettre en place des instruments et à effectuer des observations en Indonésie, au Nigéria et au Pérou.
Mais par la suite, avec la construction d'autres bases d'observation radioastronomique, les recherches académiques de Côte Rouge se sont concentrées sur l'observation et l'analyse de l'activité électromagnétique du soleil.
Quant à l’orientation de l’île, l’ingénieur l’avait déterminée approximativement par la hauteur et la position du soleil, ce qui mettait à l’est la baie de l’Union et tout le plateau de Grande-Vue.