Cependant, mettre en œuvre une réforme du Conseil de sécurité qui n'aborderait pas la question de la représentation régionale reviendrait à rater une grande occasion historique.
D'une façon répétée, l'adoption des résolutions et la réalisation des objectifs fixés continuent de ne pas porter ses fruits ou de n'amener que de maigres résultats.
Il reste donc manifestement beaucoup plus à faire pour renforcer l'éducation de celles qui sont aujourd'hui d'âge scolaire et de celles qui n'ont pas eu la possibilité d'être scolarisées précédemment.
Compte tenu du grave manque d'effectifs affectés à cette région dynamique, de nombreuses possibilités de mener des actions de diplomatie préventive et d'intervenir sur des questions transversales ne peuvent être exploitées.