Chocolate Hills, le chauffeur s’arrête à un embranchement et me dit qu’il vaut mieux descendre ici que de rejoindre Carmen, la petite ville terminus. Il me faudra revenir par le même chemin. Sympa !
Le hameau abritait deux cents familles et les rythmes de toutes ces existences à peine cicatrisées se confondaient déjà peu à peu avec ceux d’un village.
Il devait attendre à la porte ; si par hasard les mousquetaires paraissaient, la voiture partait au galop, faisait le tour du couvent, et allait attendre milady à un petit village qui était situé de l’autre côté du bois.