De plus, le recours à la procédure 1503 pour transmettre confidentiellement certaines informations n'est pas souhaitable et risque d'aboutir à des confrontations.
Toutefois, il serait difficile de formuler des normes internationales reprenant de manière appropriée les deux ensembles de mesures sans imposer «un carcan aux pays».
Si les autorités n'adoptent pas de mesures appropriées, la situation des personnes déplacées se détériorera probablement, en particulier compte tenu de l'appauvrissement des familles d'accueil.
Sauf à recourir d'urgence à ces possibilités, la Cour de cassation risque d'apparaître peu soucieuse de montrer l'exemple en matière de bonne administration de la justice.
Sans parler du fait qu'il n'y a pas eu réparation, il est difficile, faute de surveillance adéquate, de vérifier que de telles promesses sont bien tenues.
La Conférence du désarmement ne peut pas, selon nous, laisser les nouvelles menaces et les nouvelles difficultés stratégiques se développer sans réagir correctement, sous peine d'être marginalisée.
Mme Shin ajoute qu'une loi autonome sur les violences domestiques serait souhaitable, car, à l'heure actuelle, le concept de « dommages corporels » n'est pas correctement traité par la loi.
L'auteur considère que les constatations au sujet des preuves de la cour d'appel sont «injustifiées et particulièrement inappropriées» et ne tiennent pas compte de l'ensemble du dossier.
Sa délégation serait très réticente à développer le contenu de la recommandation 205, mais ne s'opposerait pas à l'inclusion dans le commentaire du chapitre XII de références pertinentes aux questions soulevées.
Il est peut-être justifié de ne pas parler des « activités dangereuses », mais le titre ne doit pas être tronqué au point de ne plus donner une idée juste du sujet.
Malheureusement, le matériel d'interprétation standard installé dans les salles de conférences n'était pas du tout à la hauteur cette fois-ci, et les deux représentants ont trouvé pratiquement impossible d'entendre aucun des orateurs.
La raison en est en partie le manque de moyens et de personnel pour lancer des opérations de secours et de relèvement adéquates, le climat de grande insécurité et l'absence d'un mandat clair.