Le grain d'or que sa mere lui avait jete au coeur s'etait etendu dans la filiere parisienne, il l'avait employe en superficie et devait l'user par le frottement.
Et elle lui montrait qu’elle l’avait démasquée, d’un seul mot qui faisait pâlir Françoise et que ma tante semblait trouver, à enfoncer au cœur de la malheureuse, un divertissement cruel.
Il la questionna ; elle ne répondit pas. Elle se tenait immobile, de peur que la moindre émotion ne la fît vomir. Cependant, elle sentait un froid de glace qui lui montait des pieds jusqu’au cœur.