2.Dans le second cas, à savoir le financement des entreprises, les capitaux privés trouvent le chemin des pays en développement sous forme d'engagements de prise de participation et de prêts.
3.Au lieu de s'appuyer sur des garanties raisonnables et de rejeter certaines demandes, les bailleurs de fonds et les investisseurs ont eu recours à des critères de prêt artificiels pour jauger les emprunteurs.
4.Persuadés que des certificats s'inspirant des meilleures dispositions et pratiques en vigueur permettraient d'atténuer le risque de transferts illicites, les pays ont estimé que les renseignements suivants devaient impérativement figurer sur tous les certificats : nom et adresse de l'usager étranger; au besoin, usage prévu; pays de destination finale; bien et description; quantité; dépositaires et acheteurs intermédiaires; examen de la certification par l'organisme gouvernemental compétent.
5.Ce type de prêt se caractérise par un taux d'intérêt ou des frais excessifs et par des conditions abusives ou inutilement rigoureuses qui ne sont pas favorables à l'emprunteur, par exemple l'exigence de paiement en bloc ou la garantie du crédit par une assurance-vie à prime unique, de fortes pénalités en cas de remboursement anticipé et une assurance qui ne tient pas compte de la capacité de remboursement de l'emprunteur.