Plusieurs véhicules humanitaires ont été pillés et d'autres formes de brigandage ont été pratiquées, sans que des témoins aient pu identifier les auteurs.
Un certain nombre de cas de pillage de convois humanitaires ont également été constatés par la Commission, mais les auteurs n'ont pas pu être identifiés.
Une grande partie des viols avaient eu lieu après que les victimes avaient été enlevées et ensuite forcées de devenir les partenaires sexuelles de leurs ravisseurs.
Les hôpitaux ont été laissés sans protection, les centrales électriques et les installations d'assainissement d'eau sont à la merci des pilleurs, et l'aide humanitaire est bloquée.
Des informations relatives aux nouvelles règles selon lesquelles les forces américaines en Iraq ont été autorisées à abattre à vue les pillards sont également parvenues à la Rapporteuse spéciale.
Toutefois, des armes ou des munitions, dans les rares cas où elles ont été récupérées auprès de voleurs armés ou remises par la population civile, étaient incomplètes ou inutilisables.
Bien que les pillards aient apparemment laissé pratiquement tout le matériel d'inspection important, ils ont pris 62 véhicules de la Commission, plusieurs ordinateurs, imprimantes et moniteurs et une grande quantité de mobilier.
La Somalie a besoin de programmes de formation, d'équipement et de vedettes rapides pour surveiller son littoral, se protéger contre les incursions et les pirates et empêcher les terroristes d'entrer sur son territoire.
Vers 14 h 30, les deux agresseurs repèrent leur première victime. Cette dernière, âgée de 39 ans, - une princesse du Qatar en visite dans la capitale - se fait violemment arracher son sac.
Une fois les vitrines cassées, durant une dizaine de minutes, certains passants en profitent pour se servir avant que les gyrophares de la police ne poussent les pilleurs à s'enfuir.
Le dispositif défensif chinois a effectivement permis de tenir les Xiongnu à distance en s'adaptant au fil du temps. Mais 1000 ans plus tard au 11e siècle de notre ère, d'autres pilleurs apparaissent.
Le parquet de Marseille a précisé que, le soir des faits, M.Bendriss poursuivait en scooter le pillard d'un magasin, tentant de s'emparer de son sac, et que cela justifiait une action policière pour l'interpeller.