À mes yeux, c'était une image plus vivante et plus personnelle que le physique imparfait et divisé que, jusque-là, j'avais eu l'habitude d'appeler : moi.
Des jambons et des faisans étaient suspendus au plafond, et une bouilloire en cuivre était posée sur le feu. Un coin de la pièce était occupé par un lit massif recouvert d'une courtepointe en patchwork.
Mais la phase la plus compliquée derrière, c’est ce que l’on appelle l’assemblage, ce qui revient à essayer de mettre chaque mot à sa place dans le génome pour avoir une histoire qui se tient.