Le TPIR tient un registre des cadeaux reçus par les détenus; un examen de ce registre a permis de confirmer la nature de ces cadeaux et d'en préciser les auteurs.
Mais le salon, très lié à une tradition bourgeoise, représente le lieu où l'on reçoit, et qui est différent de la salle à manger, où l'on ne fait que prendre ses repas.