Actuellement, les minorités représentent 14 % du personnel pénitentiaire (les Serbes du Kosovo, 13 %), tandis que les femmes sont représentées à hauteur de 26 %.
Des milliers d'étudiants ont été arrachés à leurs écoles pour subir un endoctrinement politique, certains étant recrutés dans les forces maoïstes ou la milice.
Des conseillers pour les questions pénitentiaires sont affectés à la prison centrale de Monrovia et se rendent chaque semaine dans des prisons à l'intérieur du pays.
Ils sont envoyés dans des camps où ils sont endoctrinés. Ils y reçoivent une formation militaire, puis ils sont exploités comme ouvriers agricoles et domestiques.
Le Comité note avec préoccupation que les demandeurs d'asile peuvent être détenus dans des établissements pénitentiaires, même si cela ne concerne que très peu de personnes.
Il travaille également en étroite collaboration avec le personnel et les administrateurs kosovars pour mettre en place les politiques, procédures et objectifs requis par la loi.
Dans ce contexte, une conférence a été tenue en 2000 afin d'introduire le principe du salaire égal pour un travail de valeur égale dans l'arène publique pour discussion.