Elle reconnaît le rôle important des peuples autochtones dans la production, la sauvegarde, l'entretien et la recréation du patrimoine culturel immatériel.
De même, les connaissances tirées de l'étude des religions devraient favoriser la compréhension et la protection du patrimoine culturel, aussi bien matériel qu'immatériel.
La MINUK n'a pas associé l'UNESCO assez rapidement et de la manière voulue aux activités de sauvegarde et de reconstruction du patrimoine culturel serbe.
La préservation du patrimoine national est également rendue difficile en raison de la pénurie de matériaux qui auraient facilement pu être achetés aux États-Unis.
La reconnaissance et la préservation du patrimoine culturel immatériel sont des exemples tout aussi importants de la diversité des civilisations et des progrès sociaux.
L'indifférence des populations locales ou des décideurs et souvent la méconnaissance constituent les principales raisons de la non ou de la mauvaise conservation du patrimoine culturel.
Certains de nos programmes les plus récents portent sur la défense et la redynamisation de notre patrimoine culturel, notamment en rapport avec les zones de pauvreté.
La plupart des peuples autochtones ne cherchent pas à obtenir une protection de leur patrimoine culturel pour le commercialiser, mais pour empêcher son exploitation par des acteurs extérieurs.
La protection du patrimoine culturel ne devrait pas être à la merci de la situation politique sur l'île, dont les Chypriotes turcs ne sauraient être tenus responsables.
Ils ont également insisté sur la nécessité de renforcer la protection juridique internationale du patrimoine culturel et d'élaborer des stratégies internationales et des actions de sauvegarde concertées.
À cet égard, il est reconnu que les terres et les eaux traditionnelles des autochtones ne peuvent être préservées efficacement que si elles sont gérées par les peuples en question.
Les signataires à la Convention estiment en effet qu'il appartient avant tout à chaque État de désigner, de protéger, de conserver, et de présenter aux générations futures le patrimoine culturel.
Dans la mise en place de ces centres culturels, la priorité est accordée à la restauration des monuments historiques, afin que ces investissements favorisent également la sauvegarde de l'héritage culturel brésilien.