A cause de l’influence longue et profonde du bouddhisme sur la société chinoise, les Chinois ont également la tradition de pratiquer la bienveillance et d’offrir des dons.
Finalement je comprends que tous ces vendeuses, comme certains pousse-pousse, et les soi-disant guides s’accrochent aux Vazha car nous sommes les seuls à craquer et à donner.
On voit se dessiner la notion d'une société planétaire, où les rapports Nord-Sud, en mutation, ont de moins en moins à voir avec l'ancien schéma « donneur-receveur ».
Ils ne demandent pas l'aumône, ils n'ont pas besoin d'initiatives rachitiques, ni de fausses promesses, ni de leçons hypocrites sur ce qui leur convient le mieux.
En Amérique latine et au Paraguay, nous n'avons pas besoin de charité; nous avons besoin de marchés, de transfert de technologie et de la suppression des barrières commerciales protectionnistes.
Je dois vous confier que votre Li est une femme exceptionnelle avec un fort caractère et beaucoup de courage, mais d’une délicatesse et donnant plus qu’on ne lui donne vraiment.
La mise en œuvre du partenariat mondial serait grandement facilitée si la tâche était envisagée sous l'angle des avantages mutuels et non comme un acte de charité ou une obligation.
C’est une résolution invariable. Mais cherchez, monsieur, et vous trouverez : hélas ! sur le chemin de chaque homme riche, il y a bien des misères à coudoyer !
Quand l’homme avait reçu l’aumône dans sa casquette, il rabattait une vieille couverture de laine bleue, passait son orgue sur son dos et s’éloignait d’un pas lourd.
Voyant qu’il était impossible d’être clair sans imprudence, il lui conseilla de donner cette somme en aumônes, pour les pauvres prisonniers, qui, dans le fait, manquaient de tout.
Les Grégoire chargeaient Cécile de leurs aumônes. Cela rentrait dans leur idée d’une belle éducation. Il fallait être charitable, ils disaient eux-mêmes que leur maison était la maison du bon Dieu.
Oui, ils m’ont rencontrée, ils portent des vêtements aux enfants pauvres… Enfin, je mènerai ce matin chez eux Lénore et Henri. S’ils me donnaient cent sous seulement !
Au reste, qu’il fût au logis ou qu’il n’y fût pas, qu’il se trouvât à Paris ou au Caire, l’abbé donnait toujours, et le guichet servait de tour aux aumônes que le valet distribuait incessamment au nom de son maître.