Dans la plupart des cas, les conditions dans lesquelles travaillent les femmes employées dans le secteur informel sont encore pires que pour les hommes.
Les garçons sont plus vulnérables que les filles : l'écart entre eux est statistiquement sensible, quoique moins important que parmi les autres segments.
En outre, les structures de classe déterminent qui, parmi les femmes, assumera physiquement ce travail et qui paiera des femmes plus démunies pour le faire.
Par ailleurs, bien que leur état de santé soit moins bon, les minorités âgées se trouvent souvent exclues du réseau établi de services sanitaires et sociaux.
La situation en Asie du Sud et du Sud-Ouest est encore pire, puisque 35 % seulement de la population de cette sous-région ont accès à un meilleur assainissement.
Or, ce rapport prouve que les conditions de vie dans les bidonvilles sont aussi mauvaises sinon pires que les conditions de vie dans les zones rurales pauvres.
Les ratios sont encore pires au Département de la gestion et dans les autres départements qui appuient les opérations de maintien de la paix, à l'exception du BSCI.
Ceux qui travaillent dans ce secteur tendent à avoir des salaires inférieurs, des conditions de travail médiocres et une protection sociale limitée ou inexistante; ils sont ainsi plus vulnérables.
Le service d'assistance du BGRH, qui apporte un appui aux utilisateurs de Galaxy et du SIG et qui attribue notamment leurs numéros de code aux fonctionnaires, est jugé encore plus durement.
Selon les tableaux de la Division de statistique, le niveau de présentation des indicateurs est particulièrement mauvais dans certaines sous-régions, et semble être pire encore dans le cas des petits pays.
Toutefois, cela ne signifie pas pour autant que les employés de maison ne jouissent d'aucune protection législative ou qu'ils ont des conditions d'emploi moins favorables que leurs homologues dans d'autres pays.