Le Gouvernement a donc recommencé à percevoir les taxes d'aéroport sur les particuliers et les taxes locales sur les biens et les carburants, dont la Mission était exonérée en application de l'accord.
Cette contribution de solidarité se ferait par la création ou le relèvement de taxes et redevances aéroportuaires, dont les coûts de recouvrement sont minimes et qui ne font pas intervenir la souveraineté fiscale nationale.
Une indemnisation est demandée pour le manque à gagner découlant de la diminution générale des droits de transit, des droits de sortie du territoire et des recettes procurées par la location des aéroports et les services au sol.
Cette hausse des coûts d'exploitation des avions, parce qu'on consomme plus de carburant, parce qu'on va payer plus de taxes d'aéroport, plus de taxes d'atterrissage, de survol, ça va avoir un coût.