Tout futur arrangement international sur les forêts, doit, dans la définition des critères et indicateurs, prendre en compte les questions autochtones.
Les États parties devraient faire participer activement les organisations de la société civile à l'élaboration de ces critères et de la législation-cadre.
Il invite les États membres à se prévaloir des services du Centre, en particulier en développant leurs normes nationales en matière d'action antimines.
Tous les États doivent tenir compte de leur situation juridique, sociale, économique et culturelle à l'heure d'envisager d'appliquer une règle ou une norme particulière.