Le service de l'asile peut intervenir dans les cas où la détention d'un demandeur d'asile n'est pas jugée justifiée pour garantir la bonne application de la loi.
Selon lui, le Tribunal suprême s'est limité à déterminer si le droit avait été correctement appliqué, en se fondant sur les faits tels que le tribunal de première instance les avait établis.
Oh ! mon Dieu, non ! D’abord, admettons ceci, que le mot poison n’existe pas, puisqu’on se sert en médecine des poisons les plus violents, qui deviennent, par la façon dont ils sont administrés, des remèdes salutaires.