Le Comité décide en conséquence que le requérant n'a pas établi qu'il était propriétaire desdits bijoux, pour lesquels il réclame un montant de USD 376 917.
Dans l'autre cas, les domestiques du requérant ont vu des soldats iraquiens enlever presque tous ses effets personnels, y compris les coffres contenant les bijoux.
La société est basée société de négoce, principalement dans le mode principal de bijoux, de l'artisanat, de l'or et bijoux en argent, clés, jouets, etc.
Ces biens comprenaient des bijoux, des antiquités et des objets de collection, des tableaux, des tapis et des purs sangs (chevaux de course et étalons).
Les huit parures comprenaient divers colliers, bracelets, bagues, boucles d'oreilles et autres bijoux ornés de perles ou de pierres précieuses telles que diamants, émeraudes et rubis.
Pour les achats faits chez un bijoutier koweïtien, le requérant a présenté une déclaration du fournisseur qui décrivait en détail chacun des bijoux énumérés dans la réclamation.
Hing ville de bijoux est un bijoux de grandes entreprises engagées dans l'argent, incrustés de pierres et de bijoux de conception, de production et les ventes.
Dans le premier cas, pour prouver qu'elle était propriétaire des huit parures, la requérante a fourni des photographies prises à différents moments et la montrant qui portait les bijoux.
Le Comité a noté que, dans la réclamation présentée initialement et dans les délais par la requérante, il n'était pas fait mention d'une parure d'un si grand prix.
La déclaration et les factures fournies pour les six autres parures émanaient d'un bijoutier auquel la requérante avait fait appel pour la réparation et l'estimation de ses bijoux.
La pierre est une marge de bijoux d'une centaine de magasins, les principaux agate, émeraude, jade, cristal, ambre, argent, corail, le verre, bijoux en cristal Swarovski, et d'autres accessoires.
En ce qui concerne les bijoux achetés chez Tiffany, le requérant a fourni copie d'un chèque du montant réclamé pour la montre ornée de diamants, à l'ordre de cette maison.
Pourtant, elle était la fille d’un riche marchand et ne manquait pas de prétendants qui venaient demander sa main et lui offrir des robes de satin, de bijoux et des objets précieux.
L'auteur de l'une des réclamations affirmait avoir perdu huit parures, cinq jeux de tapis persans, de l'argenterie de la marque Christofle, des services à dîner de Limoges et deux lampes (les «objets expertisés»).
Avec une pince il força la serrure, et ce lui fut un plaisir inêxprimableque de saisir ces joyaux d’or et d’argent, ces petites oeuvres d’un art si précieux et si délicat.