La population civile de Kisangani a déjà souffert suffisamment pour s'être trouvée dans les feux croisés de ces deux armées étrangères qui s'opposent sur le territoire congolais.
Depuis des décennies, ces organismes sauvent des millions de vies, contribuent à l'amélioration des conditions sociales et accroissent les moyens de lutte contre la pauvreté et la maladie.
La volonté de sauver des vies humaines fait partie de toutes les cultures et elle est sans nul doute l'objectif supérieur que nous recherchons avant tous les autres.
Les 10 années de conflit qu'elle vient de traverser ont non seulement fait d'innombrables morts, appauvri sa population et détruit son infrastructure, mais encore fortement réduit sa capacité nationale.
En tant que membre du Conseil, c'est avec une insistance particulière et de manière délibérée que nous proclamons notre attachement indéfectible à la cause de l'élimination de ce fléau pernicieux.
La table ronde avait pour but de montrer comment les outils de nature spatiale contribuent à l'amélioration de la vie sur Terre pour l'actuelle génération et pour les générations à venir.
Au cours de ces affrontements entre ces mouvements armés et les forces gouvernementales les populations civiles ont subi d'importants dégâts collatéraux allant de perte de vie humaine aux pertes de biens.
La prolifération de ces armes - ou pire encore, le fait qu'elles puissent tomber aux mains de terroristes ou de criminels - a invariablement pour conséquence la perte de vies innocentes.
Nous attachons une importance capitale à la Décennie car nous continuons de voir éclater de nouveaux conflits et perdurer des conflits de longue date, qui entraînent des pertes quotidiennes en vies humaines.
Hagrid agita frénétiquement les mains pour la faire taire alors que l'énorme créature poussait un grognement sonore et changeait de position dans son sommeil.
Est-ce un oiseau, est-ce l’âme incomplète encore de la petite phrase, est-ce une fée, invisible et gémissant, dont le piano ensuite redisait tendrement la plainte ?
Que de misère ! et toutes ces filles, éreintées de fatigue, qui étaient encore assez bêtes, le soir, pour fabriquer des petits, de la chair à travail et à souffrance !
Pourquoi, me demandais-je, plaît-il à Dieu de cacher cette connaissance salutaire à tant de millions d'âmes qui, à en juger par ce pauvre Sauvage, en auraient fait un meilleur usage que nous ?
Et la terre et les êtres, je ne les séparais pas. J’avais le désir d’une paysanne de Méséglise ou de Roussainville, d’une pêcheuse de Balbec, comme j’avais le désir de Méséglise et de Balbec.
– Tu viens de le dire, la nuit ne va pas tarder à tomber, le soleil sera couché d'ici une heure et je ne vois pas une âme qui vive aux alentours, reprit Keira, que l'interdit semblait amuser plus que tout.