Ensuite mon second fils Robert,qui est au chômage,sort de sa chambre très en colère car il y a trop de bruit et il ne peut pas faire la grasse matinée.
C’était comme une divinité à eux, que leur égoïsme entourait d’un culte, la bienfaitrice du foyer, les berçant dans leur grand lit de paresse, les engraissant à leur table gourmande.